KK : deux poids, une seule mesure
Dans les deux premières parties rapides du match de Valence entre Karpov et Kasparov, ce dernier a imposé sa loi: le massacre. Karpov ne peut manifestement plus jouer à de telles cadences. Autrefois, il gérait déjà mal son temps contre son « archi-rival », mais parvenait souvent à s’en sortir grâce à ses réflexes de blitzeur alliés à une profonde anticipation. Mais tomber au temps comme il l’a fait mardi avec les blancs au 26e coup alors que la position reste à jouer tourne au ridicule.
Dans la deuxième partie, Kasparov nous a rejoué « promenons-nous dans les bois ». Le loup adverse n’y était pas. En face, c’était plutôt une poule mouillée qui a joué dans les cordes de la 7e et 8e rangée sans la moindre énergie. Du coup, la percée au centre rentra comme dans du beurre et l’ouverture finale sur le roi par un sacrifice de cavalier peut figurer dans les manuels de combinaison.
Et dire que les organisateurs (et les joueurs!) ont prévu des parties ENCORE plus rapides. Si Karpov ne résiste pas mieux, ce match risque de tourner à une bien triste démonstration…
Voir les parties sur l’incontournable et toujours sérieux site anglais The Week in Chess (TWIC)
Encore un exemple de méchanceté et d’humour nauséabond !
Humour rend moi lourd !
La critique est facile…
Qui aurait prédit qu’il prendrait même une seule partie à Kaspi !
Cette vieille baderne de Karpov se vengera en blitz!
A 8-0 le match de Paris ne se ferait pas, ce qui serait insupportable
aux organisateurs. Gageons le déambulateur et la couche culotte
de Karpov que Kaspi le noirot de Bakou va gaffer sous peu.
De légumeu Lambert! De légumeu! Euh