Quand nos forces spéciales jouaient avec les talibans
Anecdote rapportée par un élu local il y a quelques années. Son fils, médecin en opex, s’est retrouvé à soigner un « méchant » taliban détenu sur le terrain par les forces spéciales françaises et salement blessé. Le lieu ? Chuuut, mais la réponse se trouve peut-être dans le pavé modeste et génial publié par Jean-Christophe Notin.
Qu’a fait le médecin en dehors de respecter son serment ? Il a fini… par jouer aux échecs avec son patient particulier. Langue commune ? L’échange de coups… pacifiques avec des pièces de bois. Cette proximité a été interrompue par une autre mission de cet agent médecin très spécial.
C’était notre quart d’heure de zénitude : Oui, le jeu d’échecs peut diffuser un message de paix, tu sais. Ce n’est pas seulement une discipline enseignée à des petits n’enfants biberonnés avec de l’argent public ni un passe-temps génial pour les pensionnaires de nos exemplaires établissements pénitentiaires hexagonaux.
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